Résultats de recherche pour 'Gélinotte'
18 Avr
Une magnifique Gélinotte huppée dans le verger.
Il y en avait une le 21 septembre.
22 Sep
Voilà un autre cadeau de ce lieu ! La Gélinotte huppée (Bonasa umbellus, Ruffed Grouse).
Roger Tory Peterson (Les oiseaux de l’est de l’Amérique du Nord, Éditions Marcel Broquet, 1989, p. 144) écrit : « Gros gallinacé des bois broussailleux, qu’on découvre rarement avant son envol bruyant qui fait sursauter. […] Habitat : Strates basses des forêts décidues et mixtes. »
Hier, magnifique surprise, une Gélinotte huppée (Bonasa umbellus, Ruffed Grouse)
Elle est dans une partie du verger.
Et, sans bouger, je constate qu’elle mange des bourgeons. Lire la suite
Deux gélinottes huppées ont fait banquet de pimbina
À mon grand bonheur, puisque personne n’en voulait.
Mais, m’ayant vu venir, elles se sont envolées.
La Gélinotte huppée
L’image n’est franchement pas réussie, mais c’est la meilleure à ce jour. Depuis un mois, quatre magnifiques Gélinottes huppées, ce «gros gallinacé des bois broussailleux» dit Roger Tory Peterson, ont adopté mon lieu de vie. Lire la suite
Le rapace qui fut ici pendant trois jours est un jeune Autour des palombes (Accipiter gentilis, Northern Goshawk). C’est vraiment un très bel oiseau.
David Allen Sibley (Le Guide Sibley des oiseaux de l’est de l’Amérique du Nord, Édition Michel Quintin, 2006, p. 96) dit qu’il est peu commun ou rare. « En faible densité dans les forêts entrecoupées d’ouvertures (clairières, terres humides, etc.). Nidifie dans un grand arbre. Demeure d’habitude perché, à l’affût d’une proie, puis fond soudainement sur elle. Se nourrit surtout de tétras, de gélinottes, de lièvres et d’écureuils. Le plus grand et le plus corpulent des éperviers de l’est, il a la tête, le corps et la queue larges, non sans rappeler une buse. »
Selon Roger Tory Peterson (Les oiseaux de l’est de l’Amérique du Nord, Édition Broquet, 1989, p. 152), son aire de répartition est l’Eurasie et le nord de l’Amérique du Nord. « Habitat : Forêt boréales et mixtes ; bois de feuillus aussi, en hiver. »
Dans Birds of prey, de la série Canadian Nature Guides, de Philip Burton, Trevor Boyer, Malcolm Ellis et David Thelwell, New York, Gallery Books, 1991, p. 60s, on dit que c’est généralement un oiseau de forêt dense (dense woodland), avec une préférence pour les conifères. Il se déplace dans l’hémisphère nord par manque de nourriture beaucoup plus qu’à cause des conditions climatiques. La femelle est semblable au mâle, mais est plus brune que grise.
Ça me fait tellement plaisir qu’il ait séjourné trois jours sur le terrain.
Il faut peut-être se demander s’il a fui les grandes forêts en feu pour arriver ici, dans les Bois-Francs.
Quelle surprise magnifique soudain dans Le Grand Meaulnes !
J’ai appelé Le Grand Meaulnes un espace qui se trouve sur le terrain et me rappelle beaucoup d’images du magnifique roman d’Alain-Fournier — Le Grand Meaulnes — qui se passe en Sologne, une région forestière française. Lire la suite
Et soudain qui vois-je ?
Une magnifique gélinotte huppée (Bonasa umbellus) grise mangeant des bourgeons en hauteur.
David Allen Sibley, dans Le guide Sibley des oiseaux de l’est de l’Amérique du Nord (Éditions Michel Quintin, 2006, p. 124), écrit : Lire la suite