En 1860, le poète Louis Fréchette vient d’avoir 20 ans et se fait les dents
Il en est à ses tout premiers poèmes. Voici le sixième : Lire la suite
22 Nov
Il en est à ses tout premiers poèmes. Voici le sixième : Lire la suite
Peut-être avez-vous lu la première partie de ce texte sur Noël par l’écrivain Louis Fréchette ? Elle paraissait hier. Voici la seconde. L’auteur laisse d’abord entendre que les croquignoles pourraient venir de Bretagne et de Normandie. Lire la suite
L’écrivain Louis Fréchette (1839-1908) y est allé, un jour, d’un texte sur la Noël. Le voici. Il s’agit, bien sûr, de la Noël de son époque et non d’aujourd’hui.
Reste-t-il encore quelque chose à dire ou à écrire sur la fête de Noël, la fête des petits enfants, la fête de la famille, la plus touchante des fêtes chrétiennes.
Non peut-être.
Les poètes l’ont chantée. Lire la suite
La gaieté n’est pas le bonheur, mais c’est encore ce qui s’en rapproche le plus ; c’en est l’illusion ravissante et dorée.
Comme toutes les illusions, elle est, hélas ! trompeuse, factice, plus ou moins fugace. C’est l’image réfléchie par un miroir ; image éphémère, irréelle, mais aussi fidèle, aussi vivante, aussi trompe-l’œil que puisse être une image. Lire la suite
Sa très courte réponse à Fantine pourrait s’intituler « Au pays des mots perdus ». Il écrit :
Ce que nous appelons « toques », « gloutons » ou « grachias » sont des fleurs de bardane.
Lire la suite
En 1879, Louis Fréchette, l’homme de lettres le plus en vue du Québec, publie Les Fleurs boréales, un recueil de poèmes couronné par le prix Montyon de l’Académie française. Huit ans plus tard, il fait paraître, cette fois-ci à Paris, La Légende d’un peuple, ouvrage bien accueilli par le journal L’Illustration. Lire la suite
Dimanche dernier, nous parlions de la légende de ce prêtre décédé qui, racontait-on dans la région de Lotbinière, revenait ici-bas chanter sa messe. Lire la suite
Depuis 1859, à Montréal, les amants d’œuvres d’art fréquentent la galerie Scott & Sons, au 99, rue Notre-Dame. Lire la suite
L’écrivain Louis Fréchette, sous le pseudonyme de Cyprien, le rappelle.
On sait que, dans quelques-unes de nos campagnes, certaines gens, qui n’ont guère l’idée que le latin est une langue comme une autre, se donnent le luxe d’une traduction qui, pour être bon marché, n’en est pas moins cocasse. Lire la suite
Nous connaissons Matelot, le chien de Champlain, d’après DuCreux, Pilote, le patriotique chien de Lallemant, qui au temps de Maisonneuve, faisait la chasse aux féroces Iroquois, embusqués dans les buissons autour de Montréal ; les braves chiens de quart, les sentinelles incorruptibles des Dames Ursulines à Québec, immortalisée par la Mère de l’Incarnation. Lire la suite
Thème Linen par The Theme Foundry.
Copyright © 2024 Jean Provencher. Tous droits réservés.