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Résultats de recherche pour '"Alphonse Piché"'

Retour sur le poète Alphonse Piché (1917-1998)

Nous nous n’y reviendrons jamais assez. Comme le dit le quatrième de couverture de Néant fraternel, ce poète du fleuve, de la vie et de l’amour a mené « un combat acharné contre la vieillesse, la déchéance et la mort ». Ne vous surprenez donc pas de croiser quelques propos sur ces fatalités en fréquentant ce cher Alphonse. Lire la suite

Coup de chapeau à Alphonse Piché

Comment ai-je pu attendre aussi longtemps avant de dire un mot du poète Alphonse Piché (1917-1998) ? Je l’aime beaucoup. Je possède plusieurs de ses recueils. Lire la suite

Clément Marchand est parti à cent ans, comme un vieil arbre

Cet homme, journaliste, éditeur, poète, essayiste et conteur, fut l’ami de Félix Leclerc, d’Alphonse Piché, de mon ami Gérald Godin, de Suzanne Paradis, d’Alexis Klimov et de tant d’autres. Lire la suite

Sapré Alphonse !

Alphonse Piché (1917-1998), j’entends. Le poète. Il est né à Chicoutimi, mais s’est retrouvé à Trois-Rivières à l’âge d’un an, je crois bien. Il était à peine plus jeune que mon père, né en 1914. J’aurais bien aimé le rencontrer. Peut-être même l’ai-je croisé sans le savoir. Mais j’ai plusieurs de ses œuvres. Lire la suite

« Printemps »

Volez espoirs, chantez oiseaux,

Voici parties neige et froidure ;

Cloches sonnez, luisez coteaux,

Enfin voici dame Nature Lire la suite

On trouve de tout chez les bouquinistes

Comment un ouvrage comme celui-ci a pu être largué pour m’être donné pour à peu près rien ? Je vois pourquoi : la carte d’emprunt en troisième de couverture dit qu’il n’a attiré que deux personnes en plus de 25 ans à la bibliothèque du séminaire Saint-Augustin à Cap-Rouge. Autant s’en détacher et le laisser au sort d’une bouteille à la mer. Et me voici le chanceux. Lire la suite

Hommage à François Villon

bonhommevillonDe ce grand poète québécois qui mériterait tant d’être plus connu, Alphonse Piché.

 

À Maistre Villon

Vous qui estiez mauvaise graine

De vostre temps, Maistre Villon,

Sans feu ni lieu jours et semaine,

Fesses au vent comme larrons Lire la suite

François Villon (troisième et dernière partie)

Le 27 juin 1903, L’Album universel, de Montréal, publie un long texte de J.-N. Blanchet qui a pour titre François Villon. Sa vie et ses œuvres. Blanchet ajoute après sa signature : «Université Harvard, Cambridge, Mass.». Lire la suite

Poésie du dimanche

En cette Sainte-Catherine, à l’heure des vêpres cet après-midi, 16 heures, si vous habitez la région de Québec, pourquoi pas une heure de poètes d’ici ? Lire la suite