Une colère d’Albert Ferland
Peu me chaut d’utiliser le mot «diable». Mais, manifestement, je viens de trouver chaussure à mon pied. Le poète Albert Ferland (1872-1943) dénonce les gens de mon acabit. Il n’en peut plus. Je me console cependant; mon père, homme d’église s’il en fut, pouvait dire de quelqu’un «c’est un bon diable» et n’avait vraiment pas l’impression alors de manquer à la charité, bien au contraire. Lire la suite