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Et mes hémérocalles anamorphiques

 

 

 

 

 

 

 

6 commentaires Publier un commentaire
  1. Sandrina #

    Dans mon jardin personnel, je les appelle les « demoiselles passantes de juillet ».

    1 août 2013
  2. Jean Provencher #

    Bien belle appellation ! Et il s’en trouve tant en cette saison. Il suffit de prendre la route et porter attention pour les apercevoir à maints endroits, soit bien domestiquées, soit échappées de culture. On dirait qu’elles peuvent vivre partout. On les plante et il n’y a plus à s’en occuper, elles filent seules, dirait-on, solides.

    1 août 2013
  3. Sandrina #

    C’est vrai qu’elles sont tenaces de vivre. L’année dernière j’avais oublié un plant que je voulais installer près d’un arbre. Juste posé sur le sol en attendant que la bêche et la tourbe ne viennent lui donner place dans son nouvel habitat. Et bien, malgré l’oubli, l’hiver passant, la demoiselle s’est elle-même installée et m’a fourni malgré tout de très jolies fleurs !

    1 août 2013
  4. Jean Provencher #

    Superbe, votre histoire, chère Sandrina. Et ça dit tout sur cette plante tenace.

    1 août 2013
  5. François Bourgault #

    Ces magnifiques hémérocalles font la barbe aux espèces hybrides !
    Elles s’ouvrent, majestueuses, mais sans prétention.

    Elles vivent le mois de juillet dans la splendeur et se fanent tout doucement en août préparant la saison prochaine. On les attend toujours et un beau matin elles sont ouvertes, flamboyantes et légèrement inclinées pour saluer le soleil qui vient chauffer leurs pétales.

    De bien belles fleurs !

    1 août 2013
  6. Jean Provencher #

    Vous avez tellement raison, chère Françoise !

    1 août 2013

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