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Le 23 juillet.

Revoilà cette abeille domestique qui, le 18 juillet, avait probablement détecté du sucre dans l’ouverture d’une des marches de la galerie avant.

Voir ce billet.

Cela semble vrai maintenant. Elle a quitté son groupe et a décidé de vivre ici. Elle me rappelle tout à fait cette abeille domestique qui, en été 2016, vivait ici, butinait dans les fleurs abondantes de léontodon d’automne, et se posait en bordure du bain d’oiseau et buvait (Histoires naturelles, Del Busso éditeur, 2019, p. 75 à 83).

Elle est décédée ici et je l’ai enterrée avec respect.

Et voici, telle qu’annoncée, la « verge d’or » !

Le ralliement des Quiscales bronzés devant le pain.

Six enfants et un adulte !

Le Quiscale bronzé adulte. Magnifique.

Hier, il y avait 110 fleurs d’hémérocalle.

La Sittelle à poitrine blanche va même chercher du suif pour nourrir ses deux sittelles.

Les deux Tourterelles tristes vivent ensemble.

Un des jeunes quiscales.

Pendant une pluie du tonnerre, les oiseaux ne désespéraient pas, mais se posaient des questions.