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Articles de la catégorie ‘Sagesse’

Un grand monsieur vient de partir

Le philosophe Michel Serres. Bien important personnage dans toute la francophonie. Il avait 88 ans. Lire la suite

Faut-il être séduit par le discours de l’écrivain et philosophe anglais John Cowper Powys (1872-1963) ?

Chez cet auteur, c’est selon, il y a à boire et à manger, ou encore vous vous demandez où il loge. Il fut bien populaire durant les années 1970 et 1980. On a tant cherché à me convaincre qu’il proposait la voie la meilleure. Mais est-ce que cette popularité durera ? Vous traversez Apologie des sens, qu’il avait dédié à Jean-Jacques Rousseau, son livre sans doute le plus connu, et vous ne pouvez éviter d’arriver à ce constat. Lire la suite

Retour sur Satprem (1923-2007)

Ce que j’aime de cet homme, dont les œuvres sont aujourd’hui malheureusement à peu près introuvables, c’est que souvent il réfléchit, il médite à voix haute, nous donnant à l’accompagner. Lire la suite

Chaque demeure québécoise devrait avoir sur le coin d’une table, à portée de main, cet ouvrage reposant

Dans une librairie, on dit pour les 3-6 ans. À l’intérieur, en regard de la page titre, on lit Pour enfants de 4 ans et plus. Personnellement, j’irais Pour tout le monde.

Ce livre est reçu partout avec bonheur, je le vérifie. On peut habiter seul, en couple, en trio, avec ou sans enfant, qu’on aimera y revenir pour sa grande paix. Madame Blaireau est l’amie du chat Lulu et lui apprend le chemin de la montagne. Lire la suite

Un étrange livre de sagesse

Il y a toutes sortes de livres qui donnent à réfléchir sur soi-même, des livres dont on peinerait à se défaire.

En voici un étonnant sur le photopériodisme animal. Lire la suite

« Le livre des voyages de l’âme »

Il existe toutes sortes de livres de sagesse, de diverses couleurs, diverses approches. Un jour, si vous vous sentez disponible pour attaquer un ouvrage qui mène à un questionnement sur vous-même, jetez l’œil sur celui de Satprem, Par le corps de la Terre ou Le Sannyasin, publié chez Robert Laffont en 1974. Lire la suite

On ne chantera jamais assez l’importance de l’instant

Plusieurs, dont beaucoup parmi les grands, s’y sont arrêtés.

Dans son chapitre sur l’instant vécu, l’essayiste Jean Onimus (1909-2007), attentif aux mutations de la culture et de la société, y revient. Lire la suite

Cette année, pour la première fois, je vis une véritable invasion de coccinelles asiatiques

Auparavant, j’en avais seulement à l’unité que je m’empressais de mettre dehors. Mais, cette année, c’est une question d’aspirateur, et trois fois plutôt qu’une.

Je pourrais en faire commerce.

Et voyez ce personnage. Même si certaines lui marchent dans le visage, il demeure impassible. Tout l’indiffère.

Emprunter la route qui mène au silence, le silence comme un but

Dans son livre très zen, L’Inconnu sur la terre, Jean-Marie Gustave Le Clézio évoque une route, une action  sur soi-même où, rapidement, on parvient à des régions étrangères, tout à fait neuves, où l’esprit se trouve comparable à la lumière.

« Le corps cesse d’être ce réseau d’habitudes, écrit-il, cet employé routinier et un peu las avec lequel vous vous étiez confondu ; voici qu’il est sorti de son sommeil et qu’il vit. […] Lire la suite

Relire le médecin chirurgien et neurobiologiste Henri Laborit (1914-1995) aujourd’hui permet de constater qu’il avait déjà identifié certains parcours que nous dénonçons maintenant

Je ne sais dans votre coin du monde, mais ici, au Québec, de plus en plus de personnes se posent des questions sur les études avancées, celles des collèges d’enseignement général et professionnel ( les cégeps) ou les universités.

Où allons-nous ? Sommes-nous en train de former nos enfants, de concert avec les employeurs bien  sûr, pour le marché du travail exclusivement ? Ou nous préoccupons-nous plutôt de les rendre encore plus imaginatifs, audacieux et créateurs ? Lire la suite