1 Oct
Chaque poteau portera ces plaques métalliques.
J’ai suspendu deux de ces mangeoires sous le larmier de la galerie avant et les deux autres sous le larmier de la galerie arrière. Par bonheur, les chardonnerets me suivent. Et je placerai, dès demain, j’espère, des morceaux piquants sur les poteaux de galerie pour empêcher les ratons de monter.
Il me faut absolument venir à bout de ces bêtes.
Celle-ci n’aimait pas le maïs. Sans doute sont-ce des cerises à grappe.
Et il est impossible de dire qu’il s’agit d’un raton laveur, car rien n’a bougé sur la galerie.
Un chien ? Un coyote ? Ce ne peut être un chat, car celui-ci a ses manières.
Je cherchais ces objets. Un raton les avait cachés sous la galerie avant. Et voilà qu’un autre les remet en évidence.
Les taches blanches sur le banc viennent des Quiscales bronzés, qui défèquent en blanc partout où ils vivent. Maintenant que ces quiscales sont repartis, il me reste à laver le siège de ce banc.
Les ratons ont tous des lunettes. Mais en plaçant les visages l’un à côté des autres, on se rend compte qu’il y a de légères différences. Ce raton-ci, par exemple, jeune, n’a pas le visage d’un vieux philosophe qui était là, il y a quelques jours. Et il est nettement moins calme que le précédent.
On finit par trouver tout cela incroyable ! Un papillon heureux maintenant à traverser une cage de ratons. Tout se vit manifestement. Où donc cela fut-il écrit auparavant ? Bien étranges ces faits.
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