Et on évoque la soirée du solstice d’été en page 4 du journal de bord.

Chez les migrateurs, c’est la fidélité même.
Dans un document pour moi-même que j’ai fait en 1997 — Les oiseaux de Sainte-Anasse. Mentions journalières —, j’écrivais à son sujet : « Il est présent de la fin d’octobre au début de mai, ne répugnant pas à picorer sur le neige, même quand la noirceur vient. On rapporte qu’il emmagasine ainsi d’importantes réserves de graines, ce qui semble lui permettre de maintenir un métabolisme élevé durant la nuit. Plus que les autres oiseaux, il pourrait alors traverser des nuits plus froides.
Mais jamais il ne s’amène en bande. Il va seul ou par poignée de trois, quatre, cinq ou six. »
Mais la noirceur nous enveloppe lentement. Lire la suite
Spectaculaire.
J’ai cru qu’il s’agissait un papillon de la famille des Polygones. Lire la suite
Les nuits sont froides, ont-elles un effet ?
Il s’agit d’un coliade et ils sont deux. Lire la suite
Hier soir, dimanche 21 août, ça a brassé pas mal dans les Bois-Francs. Orage. Nombreuses feuilles au vent. Bouts de branches cassées. il y a même dans l’allée un morceau d’arbre cassé.
J’ai programmé les billets de la nuit.
Je vais souper maintenant.
Lectures par la suite.
Bonne soirée, et bonne nuit. Lire la suite
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