Depuis cinq semaines, ce billet fascine
Dans un site internet présent depuis quelques années, des billets semblent soudain renaître. Lire la suite
7 Mar
Dans un site internet présent depuis quelques années, des billets semblent soudain renaître. Lire la suite
Pour connaître la venue de nos premières fois, de nos premières croyances écrites.
Maintenant, je vais aborder un autre sujet et te montrer la route à suivre… Un jour, dit-on, Pythagore qui passait s’apitoya sur un chien qu’on battait et s’écria : « Arrête, c’est l’âme d’un ami que j’entends gémir sous les coups de bâton ».
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6 Mar
Étonnante cette présence du grand écrivain. Lire la suite
Sur ce site interactif, il y a plus de 300 billets où la nuit est évoquée. Ce temps du jour est si différent de l’autre. Le philosophe et musicologue Vladimir Jankélévitch (1903-1985) en parle.
Il peut arriver qu’on la croise, qui sait. Le poète, dramaturge et journaliste français Aloysius Bertrand (1807-1841) l’a rencontrée. Elle a frappé à sa fenêtre !
Ondine
« Écoute ! Écoute ! C’est moi, c’est Ondine qui frôle de ses gouttes d’eau les losanges sonores de ta fenêtre illuminée par les mornes rayons de la lune ; et voici, en robe de moire, la dame châtelaine qui contemple à son balcon la belle nuit étoilée et le beau lac endormi.
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Ce sont les souvenirs de joie,
Les échos, les parfums surgis
Devant le foyer qui rougeoie; Lire la suite
24 Fév
En 1960, Gilles Vigneault, à Québec, et ses amis, comme Cécile Cloutier, Jean-Paul Plante, Suzanne Paradis, Raymond Laberge, Claude Fleury et Jean Miville-Deschênes, animent une revue de poésie — Emourie — faite de poèmes paraissant ou à paraître aux Éditions de l’Arc, ayant pignon sur rue au 1033, rue D’Artigny. Lire la suite
Un jour, dans un de ses livres bien zen, J. M. G. Le Clézio s’est arrêté aux mouches. Lire la suite
Du temps que nous étions entre fourmis, antennes tendues, vibrantes, je me souviens, c’était avant la famille des hommes, entre les brins d’herbe, parmi des graines tombées. Lire la suite
Pour la partie des récoltes traditionnelles estivales au Québec dans mon ouvrage Les Quatre Saisons dans la vallée du Saint-Laurent, j’avais si hâte de voir si un auteur faisait écho à la grosse gerbe, celle de blé, après l’avoine, l’orge, le sarrasin et le seigle. En Europe, certaines familles se livraient alors à un rite que l’on disait remonter aux temps préhistoriques : la rentrée triomphale de la dernière gerbe. De manière plus immédiate, on signalait cette tradition en France. Lire la suite
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