10 Août
On dit que les temps changent, c’est vrai. Depuis la mort de Forepaugh et Barnum, les cirques ont diminué.
Il ne reste que la grande et immense combinaison de Sells Brothers, qui sera à St-Hyacinthe le 6 août, qui mérite le nom de cirque qui a 3 ronds, courses romaines, ménagerie monstre, 2 théâtres et toutes choses qui se trouvent dans les bons cirques. Lire la suite
Après le succès qu’a connu encore une fois le cirque Forepaugh, il faut se rendre à l’évidence dit La Patrie du 2 juillet 1907, rien n’est plus populaire que le cirque dans la métropole. Lire la suite
15 Juil
Le cirque Forepaugh est très aimé à Montréal. À l’occasion, depuis au moins 1884, il s’amène dans la métropole. Et le revoici en 1907. Lire la suite
Les dépêches nous apprennent la mort d’Édouard Beaupré, le géant, arrivée dans la nuit de samedi, à l’exposition de St-Louis. Le géant canadien aurait succombé à la consomption. Lire la suite
On a tué le veau gras dans une famille du nom de Marcoux, au faubourg Saint-Jean [à Québec], hier. Lire la suite
Hier, nous allions voir le cirque, mais derrière la scène. Il est bien rare que cela nous soit permis. Mais La Patrie du 18 juillet 1908 nous en donne l’occasion. Poursuivons donc notre visite. Lire la suite
6 Oct
L’été est la saison des grandes manifestations, des grands spectacles sportifs en plein air. Ainsi, c’est en été que sont joués les plus beaux «matchs» de baseball, de la crosse. C’est en été qu’ont lieu les plus belles courses, les grands meetings sur les grandes pistes du monde. Lire la suite
L’hebdomadaire de Saint-Jean-sur-Richelieu, Le Franco-Canadien, a beaucoup aimé le passage du cirque Robinson en ville. On le constate dans un article du 3 septembre 1891. Lire la suite
5 Sep
J’ai vécu les huit premiers mois de 2014 passablement occupé. Mes collègues archéologues Jean-Yves Pintal, Gisèle Piedalue et moi avons rempli un mandat pour Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal. Lire la suite
À Québec, en 1882. « Dans une paroisse qui nous avoisine, un mariage doit avoir lieu demain entre un vieillard, qui en est rendu à plus de quatre vingts ans, et une jeune fille qui a à peine vu son vingtième printemps, et ici, pas de question d’intérêt en jeu, le vieil énamour est pauvre comme Job. » Le Canadien, 4 septembre 1882 Lire la suite
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