Skip to content

Articles de la catégorie ‘La beauté’

Qui peut dire ce bel oiseau ? Habillé simplement. Qui ne semble pas être une paruline. Il est sur le terrain chez moi. Et semble très heureux.

Voilà la Paruline à croupion jaune.

L’Amiral est épuisé, mais le verger lui plaît tellement. Il se promène dans les arbres à pommes.

L’Amiral, son nom. (Basilarchia arthemis arthemis, White Admiral).

Les deux bouquets.

Les feuilles rouges avant de périr.

La Paruline à croupion jaune (Dendroica coronata).

Hiverne jusqu’au Panama, selon Roger Tory Peterson. Son habitat : Forêts de conifères et mixtes. En migration et en hiver, divers habitats : bois, fourrés, broussailles, buissons.

David Allen Sibley dit qu’elle est commune et qu’on voit facilement. Souvent en petits groupes lâches. Perche souvent dressée assez bien en vue et s’élance pour happer un insecte en vol. Le croupion jaune vif, souvent exposé, est distinctif.

Le nuage prend une place.

Le Coliade intérieur (Colias interior interior, Pinkedged Sulphur).

La lumière brune.

Allons-y avec la mention d’hier. Voici le Monarque dans ces fleurs. Nous sommes le 28 septembre. Il reste une vingtaine de minutes à cet endroit et puis il quitte les lieux à son tour en prenant l’allée qui mène à la route. Un autre cadeau.

Ça dépasse vraiment le mois d’août pour les Monarques. Je comprends que le Monarque aime bien une plante qui le nourrit. Mais cette plante n’étant plus là, le Monarque ne déprime pas. Il continue sa vie et prévoit arriver au Mexique même un mois après la disparition de cette plante. Les Monarques sont intelligents, ils ne se laissent pas mourir. Les humains me font bien rire ; ils s’imaginent toutes sortes d’histoires.