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Articles de la catégorie ‘Chanson, chant’

Dans le livre de bord de Sainte-Anastasie, en août 1976, on trouve sur une page cette simple phrase. Il s’agit d’un rappel du disque de Gérard Manset publié en 1970, « La Mort d’Orion ». Un grand disque. Si jamais il passe, attrapez-le.

Il faut avoir de la voix pour chanter ainsi ! Et ce milieu les rend heureux ! Ils vivent dans un milieu très calme, à la campagne.

Vive le bonheur de chanter !

Est-ce le même ? Ils sont plusieurs à chanter !

Et le revoilà chantant.

Ce Bruant chanteur y va de son chant !

Cette année, à ce temps-ci, il y a beaucoup de chants d’oiseaux sur le terrain. Je ne sais pourquoi les oiseaux sont si nombreux à chanter. Qu’est-ce qui les rend aussi chanteur ? Même à la pluie battante ?

Le Bruant chanteur.

Le Bruant chanteur

Nous revenons dans le cadeau de mes amis de Trois-Rivières — Ninon et Pierre — une surprise, un magnifique calepin qui m’est arrivé en avril 1975. Et on s’en va dans les étoiles.

Au début des années 1970, j’ai eu trois longues rencontres à Montréal avec René Lévesque en vue de sa biographie. Une rencontre d’une durée en tout de quatre heures. Il s’engage en 1944, à l’âge de 22 ans, comme journaliste faisant partie de l’armée américaine. Et j’ai bien aimé qu’il me parle de la chanson « Lili Marleen » connue des deux camps. Il m’en a même chanté une petite partie. Ici, on le voit à l’âge de 22 ans.

J’ai beaucoup entendu chanter la Paruline masquée, hier. Mais impossible de la voir. Elle a battu son record de 1992 où elle chantait pour la première fois le 23 avril. Hier, elle chantait le 22 avril 2025. Elle est la paruline la plus commune sur le terrain. Et elle se reconnaît bien à son chant : « Lui dis-tu ? Lui dis-tu ? Lui dis ? »

Roger Tory Peterson (Les Oiseaux de l’est de l’Amérique du Nord, Broquet, 1989, p. 246) dit qu’elle hiverne aux Antilles et du Sud des États-Unis au Panama. « Habitat : Marais, fourrés humides ».

David Allen Sibley (Le Guide Sibley des oiseaux de l’est de l’Amérique du Nord, Éditions Michel Quintin, 2006, p. 347) la dit commune dans une grande variété de milieux herbeux ou buissonneux; presque toujours sur des basses terres humides. Petite, trapue et ramassée, la queue souvent relevée.