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Articles de la catégorie ‘Aujourd’hui’

Aujourd’hui, sur la babillard

Toujours les mêmes bêtes, moi parmi d’autres. Tous mes oiseaux d’hiver sont encore là. J’ai perdu seulement ma Sitelle à poitrine blanche, disparue il y a une dizaine de jours. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard

La tempête chez moi. Gros vent d’ouest, neige dense, poudrerie dans les champs au loin. Pas un de mes oiseaux d’hiver n’est parti. Ma sitelle à poitrine blanche est toujours là. Depuis le 28 janvier. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard

Une Tourterelle triste à peu près disparue dans les couleurs qu’elle-même arbore, protégée ainsi de l’Autour des palombes. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard

Le printemps crie. On arrive à «l’entendre», bien que beaucoup de neige soit tombée depuis une semaine. L’arrière de la maison et la plantation de sapinage du voisin, à l’avant, le montrent. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard

Pour ce mille centième article, pourquoi pas la variété même de ce dernier dimanche de février ? Une variété qui se répète depuis plusieurs semaines maintenant. Les jours ont le hoquet. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard (seconde partie)

Un Je-ne-sais-quoi ou un Presque-Rien. Ou serait-ce cette main de Röntgen passée au rayons X de 2013 ? La couleur maintenant, après longtemps le noir et blanc, ou le sépia. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard (première partie)

Peut-être vous souvenez-vous des «petits cochons», en face de chez moi, en bordure de la route, le 9 octobre dernier. L’asclépiade, la plante préférée du Monarque, le papillon migrateur. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard

Les jours s’écoulent. Identiques les uns aux autres, dirait-on. Avec les miens, mes fidèles. Et tous sont là, il n’en manque pas un. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard

Un peu de zen dans l’immensité. Un écureuil roux dans le touffu. Et un bouillonnement de Sizerins à tête rouge. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard

Des sizerins, des sizerins, des sizerins. Par grappes. À chaque silo de chardon. Ou calmement, seul ou en couple, en haut de la pente douce. Des mésanges aussi, beaucoup de mésanges, bien occupées à aller et venir pour pouvoir traverser ce froid. Et le soleil sur la neige au pied des grands faux-trembles. Lire la suite