À six mois d’intervalle
Une image captée deux mois après chaque solstice, celui d’été, puis celui d’hiver. D’abord, celle-ci, aujourd’hui même le 24 août 2012. Puis reculons très exactement de six mois, voyons le 24 février 2012. On dirait bien que cette photo fut prise en noir et blanc. Et pourtant non. Ici, la vie n’est plus que d’écorce… et de neige. Tout dort.
2 commentaires
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chacune des saisons, dans ses manifestations franches, nous interpelle différemment comme autant d occasion de renouvellement. un peu comme ces chefs qui déclinent une même base (nous) en autant de recettes selon l ajout de différents ingrédients (saisons) . nous sommes vraiment très privilégiés au Québec.
je pense que le solstice a parfois été associé à … peut-être quelques fêtes paysannes ?
Ah oui, chère Vous, historiquement, en Europe, les solstices ont été l’objet de fêtes paysannes, je dirais, « païennes ». Mais l’Église catholique a collé à ces deux temps de l’année la fête de Noël et puis la Saint-Jean qui ont fait que les fêtes originelles ont dérivé vers ces deux fêtes catholiques, ont laissé place à ces deux fêtes catholiques.
Et vous avez tellement raison, nous sommes fort chanceux d’avoir des saisons très originales, l’une, quelqu’elle soit, par rapport aux trois autres.