La Piéride des crucifères (Pieris oleracea)
Un des premiers papillons à se manifester au printemps, il se plait beaucoup ici.
Avant d’arriver à faire ces deux photographies, il m’a tourné longtemps autour sur la galerie avant. Finalement, il s’est posé, pour un court moment, dans le feuillage des Hémérocalles fauves.
Dans son guide d’identification Les Papillons du Québec (Broquet, 2011, p. 118s.), l’entomologiste Louis Handfield mentionne qu’il est très commun dans ma région, la région 2, et décrit ainsi son habitat : Clairières, sentiers et lisières des forêts humides, mixtes ou décidues, ruisseaux envahis par la végétation et coulant dans des boisés ouverts, tourbières à sphaignes, pessières. Est également rencontré dans les prés humides dans certaines régions boréales du Québec.
Avant l’arrivée de la Piéride du chou vers 1857-1860, selon Handfield, il était considéré comme une véritable peste. Aujourd’hui, au sud du Québec, la présence compétitive de Pieris rapae L. [la Piéride du chou] a contraint ce papillon de se réfugier dans les clairières semi-ombragées des forêts marécageuses et décidues.
Je vo fait un petit coucou. au temps des colibris, des monarques des marmottes. et quoi de plus je suis aussi sur word press j’ai mon blog qui donne sur ia viisite de ma corneille apprivoisée si si il faut voir et découvrir ses ruses. Je vous regarde vivre mpn blog un peu paresseux
Bonjour, chère Pierrette. Très heureux d’avoir de vos nouvelles. Vous me semblez être dans une forme merveilleuse. Il faut tenir, il faut tenir.
Bonne santé, chère Pierrette. Je Vous embrasse.
Jean