Et puis, coudon, avez-vous vu passer ce billet ?
Voilà quelques années maintenant que nous sommes là toutes et tous ensemble. Certaines-certains au début, puis disparu-e-s. D’autres attrapant le navire plus tard. Mais je ne sais plus où vous en êtes.
Et je me demandais : avez-vous vu passer ce billet ? Surprenant. Déstabilisant aussi. Une enfarge dans notre vie de tous les jours.
Il est à cette adresse… au cas où Vous auriez envie de brasser le jeu de cartes.
Des mots en liberté. Un bonheur. Du genre de celui aussi qu’on enverrait à un amour perdu.
2 commentaires
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Merci de nous rappeler ce billet si beau, si tendre… que j’ai parcouru presque sans respirer. Parce que happée par les mots… Avec une envie d’y revenir, de lire et relire ! Et cette finale qui nous colle au coeur: « Moi, je continue de me tenir à toi. » Doux et intense…
J’aime tant cet ouvrage de Gérard Haller. On lit et il y a des moments troublants. Mais il n’en a pas fait d’autres de cette sorte.