On s’est passé le mot
Bien comptés, mes Chardonnerets jaunes sont maintenant 20, tous en habit d’hiver ! Je m’apprête à leur demander s’ils sont arrivés pour être chez moi à demeure jusqu’en novembre 2015. Si oui, j’organiserai une souscription publique pour défrayer le coût de leur nourriture. Espérant des âmes généreuses, je quêterai en bordure de mon rang, avec pancarte à la main «Tout pour mes chardonnerets».
2 commentaires
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Impossible de mettre des oiseaux à la diète… ou de leur parler d’austérité !
Croyez-vous, chère Esther ?