Vues de Québec
Depuis la terrasse de l’hôtel Belley jusqu’à l’escalier vers un petit paradis. En passant par le soleil qui divise en deux la rue Charlevoix et le bouquet de fleurs métalliques.
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Jean Provencher
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- Ce chaton aime beaucoup ce fauteuil. Quand je prépare les plats, je sors porter la bouffe et je rentre. Les autres gagnent la galerie avant pour manger ; lui demeure sur ce fauteuil.
- La lumière à l’intérieur est bien utile, car, dehors, le temps est sombre.
- On y va de croquettes.
- La chatte et les 5 chatons veulent entrer.
- Allant chercher les assiettes sur la galerie avant pour préparer la nourriture, je croise la chatte et le chaton au collier blanc.
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Et la rue Couillard…
LA RUE COUILLARD
Pour saisir l’instant magique de son côté romantique: la rue Couillard, emblème énigmatique du contour qui l’habite, angle parfait et unique. Cette rue qui allonge la St-Jean, qui regroupe tous ces gens; qui gigue et chante dans le coin de son Irlande, qui camoufle et authentifie sa légende…
Cette rue, qu’arpentent nos pas qui l’usent, qui réfugie nos froidures dans son Temporel; qui recèle des diamants et des parures, ses fenêtres et ses dentelles; Et de l’été au printemps, qui me dévalent sur Elle, de par son Cap éternel, mon âme éprise de son ciel…
C’est bien vrai, chère Louise. Moi, quittant Saint-Jean pour m’y engager, j’ai toujours l’impression de prendre pied soudain dans l’hors du monde, sans les bruits de Saint-Jean.