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La chatte et le chaton au collier blanc.

Les Merles d’Amérique sont toujours dans le Sumac vinaigrier. Mais ils ont les chatons à l’œil.

Le chaton magnifique.

Abondance de chardonnerets.

Elle se roulait aussi par terre de bonheur.

Je ne sais où était passée la chatte depuis le 19 mars. Mais, hier matin, j’arrivais à 9 heures pile et elle venait se placer près de mes bottes.

Très grande nouvelle ! Remarquez bien en haut, à droite, dans la mangeoire métallique. Il ne s’agit pas d’un chardonneret, il ne porte pas la même vêture que les autres. Il s’agit d’un Tarin des pins, l’oiseau que j’aime le plus, car, en Amérique du Nord, il brise toutes les lois de l’ornithologie. Un certain nombre d’ornithologues n’ont pas voulu en parler dans leur livre tant il diffère des autres. Celui-ci vient de s’insérer, sans avertir qui que ce soit, dans un groupe de chardonnerets à la campagne. Merveilleux !

Et on ne sait qui il est, d’où il vient, combien de temps il espère passer ici. La vie lui appartient et il peut défier qui il veut. Sa présence est un cadeau. Si vous trouvez mon dernier libre, Histoires naturellles publié en 2019, vous allez apprendre qu’il n’est pas du tout craintif avec les humains. Aucune loi de la nature ne l’enferme ; il est maître de sa vie. De l’Atlantique au Pacifique, il niche où bon lui semble. Sa confiance est venue de la variété de son vécu. Il était de passage ici en avril 2018.

Les Peupliers faux-trembles mènent leur vie, filant leur chemin. Et un chardonneret en semble très heureux. C’est le printemps !

Ce chaton a retrouvé sa chaise bien confortable.

Un chaton sur la table.