Skip to content

Dans la série « Le plus beau mot du monde »

Si tu reviens jamais danser chez Temporel, un jour ou l’autre, pense à ceux qui tous ont laissé leurs noms gravés auprès des nôtres.

André Hardellet

No comments yet

Publier un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Vous pouvez utiliser des balises HTML de base dans votre commentaire.

S'abonner aux commentaires via RSS