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La fête chez les Sizerins flammés

Ils sont maintenant cinq ou six. Peut-être même sept. Et tous dans une forme splendide.

Malheureusement, on connaît mal cet oiseau qui niche surtout dans la Taïga et la Toundra, tant en Amérique du Nord qu’en Eurasie. On croit qu’il visite le Québec méridional en grand nombre certains hivers, généralement lorsqu’une bonne saison de reproduction coïncide avec une faible production de nourriture en zone boréale.

Lorsqu’il visite le sud du Québec en hiver, on le remarque surtout au nord du fleuve Saint-Laurent et en Gaspésie.  Je suis donc fort heureux de les voir chez moi, au sud du fleuve, une visite rare donc.

Voir le texte de Jean-François Poulin, dans le Deuxième atlas des oiseaux nicheurs du Québec méridional.

Référence à l’atlas mentionné ici : Poulin, Jean-François, « Sizerin flammé », p. 462s, dans Deuxième atlas des oiseaux nicheurs du Québec méridional (M. Robert, M.-H. Hachey, D. Lepage et A. R. Couturier, dir.) Regroupement QuébecOiseaux, Service canadien de la faune (Environnement et changement climatique Canada), et Études d’oiseaux Canada, Montréal, 2019.

Voir les textes d’anciens portant sur le Sizerin flammé.

Imaginez un instant que ces oiseaux qui vont de l’Amérique du Nord jusqu’en Eurasie rencontrent à l’occasion le Durbec des sapins qui mène la même vie. Bien sûr, les oiseaux n’ont pas de frontières.

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