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Comparons trois « 7 octobre »

Celui-ci de cette année, 2018. Et deux autres : 2006 et 2013.

Des personnes peuvent dire que c’était plus beau autrefois. Peut-être bien. Mais depuis que j’ai délaissé la tonte de la pelouse en 2016, un grand nombre d’espèces, bien davantage qu’auparavant, profitent du lieu, qui a donc gagné en diversité.

C’est au point où souvent je me dis que j’aurais dû cesser ce travail bien auparavant. Un lieu semblable est plus accueillant si un nombre important d’espèces y trouvent une place, une occasion de se nourrir par le nectar des plantes, par exemple, mais également d’assurer la suite par la pollinisation.

Vous savez, une fort belle phrase se cache dans un livre tout aussi beau qui vient de paraître, celui de Vincent Albouy, Pollinisation, Le génie de la nature, Versailles, Éditions Quae, 2018, p. 107 : Dans la nature, la règle est le mélange des espèces de fleurs contrairement aux champs cultivés monospécifiques.

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