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Un métier appelé bientôt à disparaître

Sauf dans quelques circonstances. Un métier remplacé par celui de mécanicien pour automobiles.

Il y a toujours un certain plaisir de dire à nos lecteurs le succès d’un des nôtres parmi la classe anglaise de la métropole du Canada.

M. C. A. Lamothe, le populaire maréchal-ferrant du No 24 rue Berthelet, est une figure bien connue d’un bout à l’autre du pays. Pendant longtemps, son établissement était sur la rue St-Paul, mais, depuis quelques années, l’augmentation a été si rapide qu’il fut forcé d’ouvrir un autre établissement sur la rue Berthelet, avec une installation supérieure à bien des établissements de ce genre dans les principales villes du monde, les ouvriers étant des experts en fait de ferrage, fondage, etc.

Les machineries sont ce qu’il y a de plus modernes et les matériaux sont tous de première qualité.

Tous les propriétaires de chevaux de prix sont ses clients, car son attention et ses connaissances ont toujours donné satisfaction. Nous nous empressons de féliciter M. Lamothe de ses succès et de l’honneur qu’il fait à la race canadienne-française.

 

La Patrie (Montréal), 16 décembre 1907.

Après plus de 12 ans à m’y promener, je commence à connaître la presse québécoise de l’époque. Souvent sous un article semblable, se cache ailleurs, dans le journal, une publicité payée par le personnage en question. Ou peut-être est-on en train de le cuisiner pour qu’il en vienne à une pub dans la publication ?

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