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Archive pour

Contribution à une histoire de l’araignée

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Si jamais bête de la création est restée indifférente devant nos faits et gestes, nos projets, nos agitations, nos soucis, nos espérances et nos joies, c’est bien cette ouvrière du coin obscur, l’araignée. Lire la suite

Qu’est-il arrivé de ce chaland ?

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À nouveau une histoire de tempête sur le lac Saint-Pierre.

Dans la nuit de mercredi à jeudi, il a fait la plus forte tempête de la saison.
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Le «chant» de la nuit

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Aimez-vous la nuit ? Comment donc vous vendre d’aimer la nuit si vous n’arrivez pas à vous y faire ? Nous sommes les enfants de la nuit. Nous venons de la nuit. Nous n’avons qu’une vie, et où que nous soyons, à l’Équateur comme dans le très grand Nord ou le très grand Sud, nous faisons une moyenne : la moitié de nos jours sont de nuit.

La plupart d’entre nous ont été conçus dans le «secret», la nuit, ou entre chien et loup. Lire la suite

Nous sommes en novembre 1888 à Montréal

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Jamais le spiritisme n’a été aussi populaire. Étonnant.

Les Spirites. Ils infestent Montréal. Lire la suite

«Un poète regarde la lune»

lune-deuxDe mon jardin, j’entends chanter une femme, mais malgré moi je regarde la lune.

Je n’ai jamais pensé à rencontrer la femme, qui chante dans le jardin voisin, mon regard suit toujours la lune, dans le ciel. Lire la suite

Et mes trois compagnons

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Le bien beau

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Et très intelligent. Lire la suite

Tiens donc, une légende maintenant liée à la Sainte-Catherine (second de deux billets)

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Nous sommes à cheminer dans la légende À la Sainte-Catherine, du jeune écrivain Charles-Marie Ducharme (1864-1890) disparu trop rapidement. Il n’avait qu’entrebaillé la porte de son grand talent d’écrivain.

Colette, vieille fille, avait annoncé que cette Sainte-Catherine était sa dernière comme célibataire, jurant qu’elle préférait épouser le diable plutôt que de coiffer Sainte-Catherine. Lire la suite

Qui y a-t-il à voir chez Madame Renaud ?

heleneSous le titre «Un phénomène vivant», La Patrie du lundi 19 novembre 1883 y va de cette annonce :

On exhibe en ce moment à Québec, chez une femme Renaud, vis-à-vis l’hôtel Windsor, rue St-Nicolas, au Palais, une fille nommée Pâquet qui n’aurait ni jambes, ni cuisses.
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Elle quitte la vie religieuse pour son amoureux

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Dépouillant la presse d’il y a 130 ans, on s’imagine trouver immanquablement une population québécoise rangée, sans audace, fidèle aux autorités. Pas toujours. Lire la suite