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Archive pour

Rêvant d’une bonne soupe au poisson, pourquoi aller se faire geler au bord d’une rivière par les temps qui courent ?

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La belle saison d’été est maintenant passée et les amusements au bord de la rivière se font rares.

Cependant, les amateurs de la soupe au poisson s’obstinent et, jeudi soir, tentaient, malgré une bonne brise du nord-est, de faire la chasse aux poissons. Lire la suite

Messieurs des Bois-Francs, choisissez le bon barbier

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Si vous voulez vous faire barbifier ou faire tailler les cheveux sans crainte de prendre aucune de ces maladies qui se communiquent facilement par les instruments de barbier, allez chez Frank Baudet qui se sert d’un antiseptique, un germicidal puissant. Lire la suite

Le meilleur à Victoriaville

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Et voilà que le 21 octobre 1898, L’Écho des Bois-Francs, qui publie cette annonce, écrit : M. Zoël Mailhot, forgeron, a fait encan de ses meubles, lundi, et s’en va demeurer aux États-Unis. Désormais, Eugène Bergeron occupera son atelier comme forgeron. Lire la suite

Dans la série «Là où me mènent mes ânes» (13) Second de deux billets

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L’âne dans l’histoire ancienne. Suite du billet d’hier. Lire la suite

Qu’un bien court moment, à Québec

perdrixM. Prosper Verret, épicier, au quartier Montcalm, a été assez surpris, samedi, de trouver dans sa cour une belle perdrix qui becquetait l’herbe tranquillement. Lire la suite

Sainte-Sophie de Lévrard est au cœur de tout, au sud du Saint-Laurent

sainte-sophie-totemMais fort mal desservie. Le correspondant de L’écho des Bois-Francs s’en plaint, est même un peu triste.

La récolte est bien belle, les greniers sont remplis de grains; maintenant il nous manque des communications pour écouler ces produits, ce serait pourtant bien juste d’en avoir.
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Ce soir, un voyage dans le paranormal

en-route-vers-le-paranormal-photo-de-jacques-sylvainDe 1880 à 1910, la presse québécoise fait largement écho au paranormal, celui de l’Église bien sûr qu’elle appelle le surnaturel, mais aussi l’autochtone nourri par les populations des régions. Lire la suite

Je viens d’aller saluer mes ânes

pollux-et-aramisNous fêtons notre premier anniversaire demain. Ils m’étaient apparus le 25 octobre, l’an dernier. Mais demain, je serai dans le paranormal par-dessus la tête.

Aujourd’hui, avec le grand vent du nord-ouest très froid, ils avaient trouvé refuge derrière la cabane qui tient lieu aussi de poulailler. Lire la suite

Dans la série «Là où me mènent mes ânes» (12) Premier de deux billets

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L’âne dans l’histoire ancienne. Lire la suite

Le vague à l’âme d’Arthur Buies

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Le Sorelois est heureux de reprendre à la une ce propos de l’écrivain Arthur Buies. L’auteur a 44 ans. Voici «Fin d’été». Lire la suite