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«Drôle de marché»

pourquoi

On lit dans l’Observateur de Joliette :

Un fait inouï vient de nous être raconté.

Dans une paroisse aux alentours de Joliette, un mari fatigué de sa femme l’aurait vendue pour un dollar et soixante cinq centins; mais l’acheteur, peu satisfait de son emplette, revendit la mariée à son père avec un bénéfice de dix centins.

Le Canadien (Québec), 29 septembre 1884.

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