L’estomac dans les talons, finalement ils s’amènent
Rappelez-vous, il n’y a pas longtemps, mes Bruants des neiges m’avaient boudé, refusant de descendre des hauteurs. Je jouais au chat et à la souris avec eux. Mais ils demeuraient imperturbables.
Et finalement, les voilà, à l’usure.
2 commentaires
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Superbes photos.
Je vous envie ! Les Bruants ont boudé mes mangeoires tout l’hiver. Je les vois passer par centaines au-dessus des champs. ‘Venez mes petits !’ que je leur cris. Rien à faire, les bordures de route semble leur offrir ce qu’ils désirent.
C’est la poudrerie à St-Marc, le décor extérieur a beaucoup changé depuis hier. Les oiseaux se font pousser dans toutes les directions. Quel courage !
Merci beaucoup, chère Vous. C’est vrai que la bordure des routes les intéressent souvent bien davantage. Parlant bordure de routes, hier, l’Alouette cornue, hausse-col ou de Virginie étaient là pour la première fois. Avec cinq semaines de retard par rapport à ses années les plus hâtives.
Ici aussi, ce n’est pas du tout la journée d’hier. Comme un retour au plein hiver. Tout ce que j’espère, c’est que cette neige, si abondante, ne se mette pas fondre rapidement. Chez moi, ma pauvre cave serait inondée une nouvelle fois.