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Archive pour

Un concert de l’orchestre Gilmore

Le 11 juin 1889, au profit de l’hôpital Notre-Dame de Montréal, l’orchestre Gilmore, qu’on présente comme «la célèbre bande de Gilmore et ses chanteurs distingués», vient donner un concert à la patinoire Victoria. Lire la suite

Étrange découverte

Le bi-hebdomadaire Le Trifluvien (Trois-Rivières), dans son édition du 1er mai 1889, raconte cette histoire qui se passe dans le faubourg Saint-Jean, rue Sainte-Madeleine, à Québec. Lire la suite

L’habileté de l’oiseau

J’ai longuement regardé la Paruline à croupion jaune chasser dans l’aubépine, cette «prison d’épines». Lire la suite

Le lancement d’une barge

Ici comme ailleurs, la mise à l’eau d’un nouveau vaisseau fut toujours soulignée par une fête. Le journal La Patrie raconte un de ces lancements le 14 octobre 1891. Lire la suite

La mise en train

Vous arrive-t-il de sentir en vous un poème qui demande à naître ? Comment donc se mettre en état pour qu’il vienne ? Le plus beau texte que je connaisse à ce sujet est celui de mon ami, écrivain et poète, grand amant des oiseaux également, Pierre Morency. Lire la suite

Une sorte de merveille de la vie

Je me suis toujours émerveillé de cette si simple et si grande création. À chaque fois que je l’aperçois soudain chez moi, je ne peux m’empêcher de m’incliner pour la regarder. Lire la suite

C’est bien l’automne

Un ruisseau traverse le décor. Fenêtre.

Cheval perdu

JOLIETTE — M. Auguste Goulet est actuellement à la recherche de l’un de ses chevaux qui a été volé ou s’est échappé dans la nuit de dimanche à lundi. La bête en question est sous poil café et étalon. Qui la ramènera au propriétaire sera généreusement récompensé. Allons, en campagne, gens de flair.

La Patrie (Montréal), 6 octobre 1891.

Des traces, des traces

À chaque fois que vous touchez, vous laissez des traces. C’est là votre signature. À la fin du 19e siècle, on commence à penser que ces traces pourraient aussi servir contre vous. Lire la suite

Le ras-le-bol des sollicitations (2/2)

Qui connaît Alphonse Lusignan ? À peu près personne. Et pourtant il avait une plume du tonnerre. Aujourd’hui, il n’y a plus de journalisme québécois à la manière de ce que faisaient Lusignan et Arthur Buies. Lire la suite