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La revoilà, la bien connue

Après une nuit de moins 4 et une température de 2 aujourd’hui. Vent froid de l’ouest. Imbronchable. Elle était la toute dernière tige de Verge d’or fleurie le 3 octobre.

Je me demandais, y a-t-il dans votre coin de vie une plante sauvage, non entretenue, toujours en fleur ? J’apprécierais une photographie en assez bonne définition que vous pouvez me faire parvenir via l’adresse : blogue@jeanprovencher.com. J’y ferai écho. Si nous étions plusieurs dans ce cas, c’est que nous menons une bonne vie. Sinon est-ce que je parle au diable pour que cette tige de Verge d’or fleurie, absolument sans entretien, trouve le bonheur, n’a de cesse dans un milieu d’épines, alors que la saison est tellement avancée ?

 

P. S. Si vous habitez ailleurs sur notre esquif, il ne vous est pas défendu de nous «assommer» avec la beauté de votre flore sauvage fleurie présentement. Nous avons la couenne dure et savons apprécier la beauté du monde. Et puis ça nous réjouirait le cœur, alors que les temps froids, ici, sont à la porte. Mais entendons-nous bien, il ne s’agit pas de fleurs cultivées. Ici, j’ai un couple d’amis qui disposent d’un lieu encore bien fleuri, mais tout à fait entretenu, jamais laissé à lui-même comme l’est cette tige de Verge d’or, elle et les autres plants de sa race qui pouvaient pousser dans ce massif de groseillier depuis au moins 37 ans maintenant.

Un commentaire Publier un commentaire
  1. Ténacité … Jaune chaleur tout juste avant une giboulée!

    25 octobre 2013

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