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Où se cache-t-elle donc ?

Durant les années 1970, nous étions nombreux, dans la marge, à chercher où se cachait la Sagesse. Notre quête était diverse, variée. Même, d’Auroville, les œuvres de Sri Aurobindo, La Mère et Satprem, qui lui avait connu les camps de concentration européens, parvenaient au Québec.

Extrait de l’ouvrage Le Périple d’or. Poème dansé, produit là-bas, publié à Pondichéry en 1961.

 

 

 

 

Le jeu cosmique à deux
Atteint sa perfection intégrale,
Lorsque ses gestes et ses pas
Tissent le vivant symbole
De la danse et de l’harmonie universelles,
Lorsque le chœur inaudible de la multitude
Soutient chacune de ses paroles.

 Paroles et danses
S’écoulent
Au rythme solennel
D’une plénitude inaliénable,
Dans ce mystère du devenir
Joué sur le parvis rieur de l’éternité.

Et nous serions nombreux aujourd’hui pour dire : «Nous n’avons pas vécu pour rien. Ces heures de quête, nous les portons encore en nous.»

2 commentaires Publier un commentaire
  1. Louis Bélanger #

    Merci Jean Provencher de me faire connaître Satprem. Aujourd’hui je retiens son»Même l’homme de Néanderthal aurait honte de ce que nous sommes devenus».

    Salut

    24 octobre 2013
  2. Jean Provencher #

    Merci à toi, cher Louis. Dommage que Satprem ne soit pas davantage connu, c’est un sage.

    24 octobre 2013

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