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Fouiller loin, le plus loin possible

Ne rien perdre. Car la saison achève et il faut maintenant compter les fleurs.

Par bonheur, les mauves sont toujours là.

 

 

 

 

2 commentaires Publier un commentaire
  1. Marie Tanguay #

    Savoir savourer jusqu’à la toute dernière goutte !

    9 octobre 2013
  2. Jean Provencher #

    C’est un bourdon. Contrairement à une abeille, le pauvre vit ses dernières heures.

    9 octobre 2013

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