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Mon chat noir

Des personnes me posent des questions sur ce qu’il est advenu de mon chat noir qui prenait ses aises sur la galerie avant à mon retour du village, le 25 juin.

Il est toujours là, habite la grange, mais il m’est bien difficile de lier conversation. Il n’a pas encore répondu à la question que je lui posais le 25 juin. Manifestement, il a appris à vivre seul, sans la présence d’humains, et ne se laisse pas approcher. Mais je le nourris. Il est avec nous. Je remarque qu’il porte une cicatrice sur le nez.

 

5 commentaires Publier un commentaire
  1. lukas #

    Beau geste que de le nourrir cher Jean… Mais que fais-tu quand tu t’absentes pour des jours ?

    4 juillet 2013
  2. Jean Provencher #

    Je ne m’absente jamais pour des jours, cher Lukas. Que feraient mes chers oiseaux sans moi ?

    4 juillet 2013
  3. Ma mère a vécu ce genre d’histoire avec une chatte sauvage. Elle la nourrissait comme vous le faite. Petit à petit, elles ont fait plus ample connaissance. Un jour, la belle aux yeux verts émeraude est entrée pour accoucher d’une belle portée. Et c’est ainsi que son côté sauvage s’en est provisoirement en allé. Elle entrait et sortait pour nourrir ses petits, leur rapportait ce qu’elle chassait. Ma mère a gardé ses rejetons quelques mois, jusqu’à ce qu’elle les ait sevrés, un bon trois mois je crois. Puis elle est disparue dans sa Nature. Ma mère ne l’a jamais revue. Puis au fur et à mesure que ses petits grandissaient ils disparurent eux aussi dans la Nature. Un seul est resté, c’était une fille. Ma mère ne l’ayant point fait opérer a hérité d’une autre petite famille quelques mois plus tard. Cette fois elle a trouvé des gens à qui les donner. Elle n’en a gardé qu’un, encore une fille. Mais elle a mis un stop à la maternité en la faisant opérer. Elle a un chum avec qui elle sort la nuit, elle ne rentre qu’au petit matin, affamée et épuisée. Elle dort presque toute la journée puis recommence son manège. Peut-être que votre chat sauvage a une blonde dans le coin ! ;-)

    4 juillet 2013
  4. Jean Provencher #

    Étonnant que vous disiez ça, chère Louise. Hier, allant d’abord chercher la tondeuse dans l’étable pour la tonte, j’ai fait fuir une grosse chatte blanche et rousse par une ouverture à l’arrière. Puis, après la tonte, allant ranger la tondeuse, j’entendais des miaulements de jeunes chats. Je les imitais et ils me répondaient. Plus tard, je suis retourné, mais les miaulements avaient cessé, signe sans doute que leur mère était revenue. Mais les petits semblent bien cacher, impossible de les trouver dans l’immensité de mille et un trucs dans l’étable, impossible de me rendre au fond là où ils se trouveraient.

    4 juillet 2013
  5. Ce doit être mon instinct maternel. ;-)

    4 juillet 2013

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