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Aujourd’hui, sur le babillard

Lorsque je vous dis que mon lieu est une terre d’accueil pour les espèces vivantes de la Nature, j’espère que vous me croyez. Un lieu où chaque être a une place aussitôt qu’il se présente. Aujourd’hui, monté dans l’Arche à son tour, un jeune chat, sans doute perdu ou abandonné, si affamé qu’il mange le pain que j’ai offert aux oiseaux. Jamais n’avais-je vu un chat manger du pain.

Embarque, petit. Un de plus avec nous. Te voilà du voyage, toi aussi.

4 commentaires Publier un commentaire
  1. il faut qu’il ai le ventre vraiment vide pour manger du pain, il sera au paradis dans ce domaine il aura droit a de la vraie nourriture.

    9 novembre 2012
  2. Jean Provencher #

    C’est exactement ce que je me suis dit, chère Marie, l’apercevant soudain par la fenêtre dans le pain, surgi je ne sais d’où. Faut vraiment, mais vraiment qu’il soit au bout de la corde, sans même l’énergie pour chasser, aurait-on dit. Je suis sorti lui parler, avec grande douceur et sans trop m’approcher. Il ne semblait même pas avoir l’allant pour fuir en vitesse. Alors, je suis entré lui servir une assiettée, il était maintenant couché au soleil, au pied du mur de la grange. J’ai déposé le plat dans la grange, suis parti vers la maison, et ce ne fut pas long qu’il a gagné le bâtiment.

    9 novembre 2012
  3. Bellaca #

    Ah!L’instinct de survie…est plus fort que tout.
    Faute de pain, on mange de la galette…
    Il devait être drôlement content avec votre assiette de viande et s’endormir, pour une fois, le ventre plein.

    12 novembre 2012
  4. Jean Provencher #

    Je voulais en prendre soin, lui aussi, chère Bellaca.

    12 novembre 2012

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