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Aujourd’hui, sur le babillard (première partie)

La seconde moitié du 19e siècle.
Des peintres impressionnistes passés chez moi.
Venus travailler par touches.
Le deuxième degré des choses.
Attardés à peindre l’éphémère, dirait-on,
le fugitif, la durée de quelques jours.
Sorte de monde irréel. Un peu.
À cause de cela, bien fragile.

 

 

 

 

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