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On ne peut jamais prévoir la présence du Tarin des pins.

L’an passé, ils furent absents pendant de nombreux mois. Et, le 2 janvier de cette année, voilà trois d’entre eux qui arrivent. Aujourd’hui, ils sont toujours là, depuis ce 2 janvier. et on ne peut savoir quand ils partiront.

Ce Tarin des pins m’accueillait hier avant-midi, à mon arrivée.

Les fleurs d’hiver. Peut-être vous rappelez-vous.

Voilà le Colibri à gorge rubis mâle. Il aime se percher très haut.

Un Chardonneret jaune semble pratiquer sa danse.

Le raton laveur est encore là à mon retour quotidien.

Le 23 mai.

Voici ce qui semble être le Moucherolle des saules. Le blanc important de sa gorge me laisse croire qu’il s’agit bien de lui.

Pour atteindre les graines de tournesol, ce diable d’écureuil enlève un de mes gants de travail de ce seau.

Et il ne me regarde même pas.

La Paruline masquée mâle, une splendeur.

Selon Roger Tory Peterson (Les oiseaux de l’est de l’Amérique du Nord, Éditions Broquet, 1989, p. 246), elle hiverne aux Antilles et du Sud des États-Unis jusqu’au Panama.