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Résultats de recherche pour 'Bourdon'

Les bourdons sont très heureux de l’éclosion des principales pivoines !

Petit héros !

Voyez un des Bourdons fébriles (Bombus impatiens) qui fait le tour des fleurs de framboisier sauvage. Comme tous les bourdons, cette espèce possède une corbeille à pollen ; on la voit bien à sa patte.

Après les longues pluies qui, pendant des jours, ne laissaient aucun place aux butineurs, voilà qu’ils apparaissent maintenant. Voici le Bourdon fébrile (Bombus impatiens).

Ici, dès mon arrivée hier matin, j’aperçois ce Bourdon fébrile (Bombus impatiens) qui se repose sur la galerie avant.

J’ai le plus grand des respects pour lui. C’est peut-être le plus important de nos pollinisateurs.

Il est présent partout chez moi depuis un mois. Il travaille en ce moment dans les framboisiers sauvages dont les fleurs vont ouvrir sous peu.

Ce bourdon n’est guère connu et devrait avoir une reconnaissance quelconque. Il niche dans le sol et vit dans une communauté qui va jusqu’à 500 individus. Les compagnies l’utilisent pour la pollinisation en serre (tomates, poivrons) et pour la pollinisation des bleuetiers, des pommiers et des fraisiers.

C’est un héros qui mériterait un hommage. Et, bien sûr, comme tout bourdon, il ne pique pas et est fort patient. Je lui parle, mais je ne crois pas que mon discours l’intéresse.

Voir l’ouvrage de Joseph Moisan-De Serres, France Bourgouin et Marie-Odile Lebeau, Pollinisateurs et plantes mellifères, Guide d’identification et de gestion, Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ), 2014, p. 14.

C’est vraiment une excellente bête, riche de vie. Et nous gagnons à la connaître.

Si je vais dans les écoles au primaire, en 4e, 5e et 6e années, je vais en parler aux enfants. Ils arriveront à convaincre leurs parents que c’est un insecte important dans nos vies.

Ici, il y a une abondance, cette année, de ce bourdon, le Bourdon fébrile.

Et ils commencent déjà à avoir hâte aux fleurs des framboisiers sauvages.

Le Bourdon fébrile (Bombus impatiens, Common Eastern bumblebee)

Le Bourdon fébrile, l’une des espèces de bourdons les plus communes et particulièrement facile à identifier.

Voir l’ouvrage de Joseph Moisan-De Serres, France Bourgouin et Marie-Odile Lebeau, Pollinisateurs et plantes mellifères, Guide d’identification et de gestion, Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ), 2014, p. 14.

Le Bourdon fébrile (Bombus impatiens, Common Eastern bumblebee) butine dans les pissenlits.

Cette espèce généraliste visite une grande diversité de plantes à fleurs. On l’utilise commercialement pour la pollinisation en serre (tomates, poivrons) et pour la pollinisation des bleuetiers, des pommiers et des fraisiers.

Il niche dans le sol, généralement dans des terriers abandonnés par des rongeurs. Sous nos latitudes, cette espèce forme les plus grandes colonies, celles-ci pouvant atteindre plus de 500 individus.

Il ne pique pas, cher amis, ce n’est pas une guêpe.

Voir l’ouvrage de Joseph Moisan-De Serres, France Bourgouin et Marie-Odile Lebeau, Pollinisateurs et plantes mellifères, Guide d’identification et de gestion, Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ), 2014, p. 14.

Le Bourdon fébrile (Bombus impatiens, Common Eastern bomblebee) fait la tournée des fleurs de prunier.

Et on voit qu’il a une corbeille à pollen, ce qui annonce du nectar.

Un Bourdon ardent (Bombus fervidus, Golden Northern bumblebee) dans le Lierre terrestre tout près de la maison.