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Articles de la catégorie ‘Les cartables des temps d’hier’

Nouvelle page du Calepin-cadeau de mes chers amis de Trois-Rivières — Ninon et Pierre. J’aime cela, car je suis à lire un pavé de l’Inde, un gros livre : La voie de l’essentiel. Et la lecture de ce livre nous envoie à nous-même, comme cette page-cadeau de Ninon et Pierre, qui dit : « Ouvre grand tes yeux… Tu n’es d’autre que ce que tu vois. »

Retournons au Pays de nulle part, au journal de bord de Sainte-Anastasie en 1976. Toute personne de passage pouvait y laisser son mot, son dessin, sa couleur, bref ce qui lui vient. Complètement libre à elle. Les trois feuillets, ici, ne sont pas datés, mais, chose certaine, ce n’est plus l’été. C’est écrit que ça pouvait être aussi le milieu du monde des fois ce pays de nulle part. Ah, cela me plaît ; un cinéaste avait tourné un film en Suisse ayant pour titre « Le milieu du monde ». Bon, allons-y.

« Le déchirement des limites ». De Ninon et Pierre.

Allons voir le livre de bord de Sainte-Anastasie à l’automne de 1976. Une dame aime beaucoup ces gens attablés dans les campagnes et non à la ville.

Et nous voici le 16 octobre 1976. Ça cause, ça cause à Sainte-Anastasie.

Nous revoilà dans le livre de bord en 1976 à Sainte-Anastasie. Nous sommes en octobre probablement. Une dame écrit ces deux pages ; elle en est complètement libre. Mais, diable, je n’arrive pas à savoir qui elle est.

Le livre de bord de Sainte-Anastasie en 1976 signale l’arrivée de l’automne le 20 septembre sous la pluie. Et, un mois plus tard, le 20 octobre, il neige sur le pays.

Dans le livre de bord de Sainte-Anastasie, voici un hors-texte provenant du mensuel français Le Sauvage, format papier de 1973 à 1991. Excellent texte de Serge Moscovici !

Au mois d’août 1976, l’équipe de Sainte-Anastasie décide, depuis un moment, qu’il faut mettre des énergies pour assurer la suite du verger de pommes. Ce verger avait été créé par Jos Rousseau durant les années 1920 ; et il en a créé trois autres aux alentours. Voici l’annonce le 19 août.

Retrouvons le journal de bord de Sainte-Anastasie en 1976. Nous sommes au mois d’août. Une dame ou un homme intéressé s’arrête et cette personne y va, dans le livre de bord, d’une Ode à l’Amour. Je ne me souviens plus de l’auteur.