À sept heures 45, hier matin, à mon arrivée, quatre chatons s’amènent me saluer. Le cinquième, au collier blanc, est sur la corde de bois.

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• La chatte et son fils adolescent. J’ai laissé l’auto en bordure de la route à cause de la mauvaise qualité de l’allée et les chats ont vu que c’était bien moi. Sainte-Anastasie est un lieu puissant. Il a une bien longue histoire ! Et ces chats la prolongent. Ils ne savent pas leur apport à leur tour. Et l’originalité qu’ils nourrissent. Bien rares sont des lieux semblables. Qu’en dirait Henry David Thoreau ?
• Je reviens à un autre dessin de Ninon et Pierre, un cadeau de ces amis de Trois-Rivières en avril 1975, un calepin de textes et d’images créées. Et c’est encore très frais.
• Voici l’une des trois pages consacrées au Roselin pourpré dans le document « Les oiseaux de Sainte-Anasse. Mentions journalières » depuis le 30 juin 1981.
• Un nouvel oiseau apparaît à Sainte-Anastasie : le Roselin pourpré (Carpodacus purpureus, Purple Finch). Selon Roger Tory Peterson, Les oiseaux de l’est de l’Amérique du Nord, Éditions Marcel Broquet, 1989, page 270, on le remarque au Canada, dans l’ouest et au nord-est des États-Unis. Et il hiverne jusque dans le sud des États-Unis. Il se pose ici dans l’Érable rouge, qui fleurira bientôt.
• Le Merle d’Amérique est pleinement en santé.
• Tiens, la chatte occupe la chaise près du poêle.
• Intrigués.
• Il y a une coccinelle asiatique ou une mouche dans cette fenêtre. La chatte et le chaton sont étonnés.
• Le chat adolescent dans la viande.
• La chatte et son chat.