La chatte, elle, vit sa vie et nous sommes tout près l’un de l’autre.
Il suffit que je lui dise de s’approcher et elle vient.
2 commentaires
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Monsieur Provencher, merci !
Bonjour Monsieur. Comme vous et plusieurs autres je reviens chaque jour aux pages des Quatre Saisons. Mon oeil et mon esprit sont réceptifs à » votre » campagne, aux descriptions d’oiseaux, à cette nature environnante qui valse pour s’animer au quatre-temps et plus , puis puis puis depuis quelques mois à ces deux beautés poilues à quatre pattes dont la présence et l’évolution de leur attachement envers vous sont précieux à observer . J’en ressens une félicité dans cette gamme délicieuse de leurs regards et manifestations ! À votre arrivée ils viennent vous accueillir, nom de dieu quelle grâce !
Pour chacune de ces photographies matinales de leur aller-dans-l’allée vers vous, ça fait ohhhhhh dans mon âme ….
Merci de nous transmettre et partager votre » Voir le voir » !
Comment véritablement Vous remercier, chère Ana. Je vis des moments étonnants. Et ma maison est loin de la route, ce qui évite le trafic très près, les longs camions de 53 pieds. Et ces chats sont adorables. Il y a une paix, un repos. La vie est bénie à certains moments.
Merci infiniment, chère Ana.