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Il faut être passablement riche pour décider d’affronter l’habitude, car elle appauvrit tellement.

Celle-ci est elle-même riche de tout le neuf qu’elle enlève aux choses. Et la vie s’en va, s’en va, s’en va… Et tout ce qui s’habitue meurt. N’en tirent que les perpétuels étonnés, les éternels ravis.

Le cartable des temps d’hier. De la création, de l’étonnement, du sens du merveilleux et de la découverte.

Lui aussi sur la tablette qu’il aime beaucoup.

Les chardonnerets dans la fenêtre.

Ce chaton a découvert cette chaise que plusieurs aiment.

Les chardonnerets jaunes sont heureux de disposer de la mangeoire métallique.

Cela dit, je croyais que le Tarin des pins était disparu après le 23 mars. En fait, il vit maintenant avec une poignée de Bruants hudsoniens, mangeant au sol avec eux, et non avec les chardonnerets dans leur mangeoire.

Deux chatons voulaient sortir.

Et voilà qu’ils étaient trois à la fenêtre d’en bas.

À la fenêtre d’en bas, ils étaient deux chatons.

À mon arrivée hier avant-midi, à 9 heures 50, il y avait cette chatte à la fenêtre d’en haut.