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Le chat et moi nous nous battons cette fois-ci contre les mouches triangulaires, un autre insecte piqueur

Elles sont facilement 6 ou 7 à nous tourner autour et même à se poser sur nous.

Hier, le chat, sur la galerie arrière, devenait nerveux, incapable de manger, secouant la tête. Il avait été piqué sur le front à gauche et à droite.

J’ai posé ma main sur lui et jamais je n’avais vu ses battements de cœur aussi rapides. Je n’aimais pas cela.

J’ai décidé d’aller m’enduire de Watkins, en mettant même sur mon chandail, et d’en mettre gros comme un pois un peu à l’arrière de ses oreilles. Il ne pourrait donc pas lécher cet anti-moustique.

Il a par la suite descendu l’escalier de la galerie pour aller se faire un « un nid » dans les herbes hautes et a réussi à s’endormir sans ces mouches triangulaires. Après une sieste, il a gagné une marche de l’escalier et a pu se rendormir sans être agressé par ces piqueurs. Et ses battements cardiaques étaient bons cette fois-ci.

Et, tout près de lui, tout juste à côté de la marche, mon bourdon préféré butinait dans un pissenlit, la Bourdon tricolore, qu’on disait en voie de disparition il y a quelques années. Peut-être même une reine à ce temps-ci de l’année.

Le bonheur. Du bien bon monde près l’un de l’autre. J’aimais tant.

Et je ne peux m’empêcher de penser à mon père, silencieux, qui n’avait souvent qu’un mot :  « La vie est bonne, John, la vie est bonne ». Incapable de d’autres mots.

Vous trouverez l’insecte triangulaire dans la dernière image captée dans la fenêtre au-dessus de l’évier.

Le chat dans l’herbe

 

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