Les deux semblent très heureux, et tout à fait à leur affaire. Le junco est complètement seul de son espèce, les Bruants hudsoniens sont 7 ou 8. Je les observe beaucoup et il n’y a pas de chicane.
Par ailleurs, la complète solitude d’un oiseau m’étonne toujours. Qui nous dira un jour qu’un oiseau peut bien vivre sa vie sans toujours regarder au-dessus de son épaule pour vérifier si un frère se trouve tout près ? Peut-être que la simple présence d’un oiseau tout près, fût-il d’une autre sorte, mais non agressif, suffit à répondre à combler le vide qu’il pourrait ressentir.
Chose certaine, mon junco semble fort heureux, ayant quelques graines de chardon tombées à picorer. Et sûr que le voisin ne lui sautera pas au visage. La simplicité. L’assurance aussi.
Un junco qui accompagne le bruant hudsonien?
Les deux semblent très heureux, et tout à fait à leur affaire. Le junco est complètement seul de son espèce, les Bruants hudsoniens sont 7 ou 8. Je les observe beaucoup et il n’y a pas de chicane.
Par ailleurs, la complète solitude d’un oiseau m’étonne toujours. Qui nous dira un jour qu’un oiseau peut bien vivre sa vie sans toujours regarder au-dessus de son épaule pour vérifier si un frère se trouve tout près ? Peut-être que la simple présence d’un oiseau tout près, fût-il d’une autre sorte, mais non agressif, suffit à répondre à combler le vide qu’il pourrait ressentir.
Chose certaine, mon junco semble fort heureux, ayant quelques graines de chardon tombées à picorer. Et sûr que le voisin ne lui sautera pas au visage. La simplicité. L’assurance aussi.