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Ces petits oiseaux dégagent toujours une grande douceur, dirait-on

Manifestement plus tolérants que les oiseaux de d’autres espèces, ils n’ont pas la même pugnacité.

L’an dernier, j’avais passé l’hiver, de novembre à avril, avec le même nombre d’oiseaux, une quatre-vingtaine, mais cette fois-là avec les Sizerins flammés ou à tête rouge. Et un des souvenirs que je garde d’eux, c’est que chacun tenait davantage à sa place dans le groupe que mes Chardonnerets jaunes de cette année.

Chers oiseaux ! Miroirs êtes-vous pour le type de bêtes que nous sommes de ce côté-ci.

Plus calmes aussi. Vous ne semblez pas connaître l’angoisse. La vie semble vous appartenir. Vous m’apparaissez être vraiment d’ici.

Dites, quel est donc votre secret ? D’où vient votre bien-être, que l’on dirait facile ? Quelqu’un vous a-t-il déjà dit que vous étiez un cadeau ?

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