Appuyez-vous sur nous !
Vous avez deux minutes aujourd’hui ? Lisez ce papier fort bien mené, plein de bon sens, de Michel Venne dans Le Devoir d’hier et d’aujourd’hui. On se prend à souhaiter que nous le gardions toutes et tous en mémoire, qu’il ne soit pas vite noyé dans le discours des grands parleurs.
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/358769/appuyez-vous-sur-nous
5 commentaires
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Oh! Oui. Un article qui met en mots le désir québecois dans sa largeur et profondeur.
Absolument, chère Sylvie. Et qui invite tout le monde à la table, qui n’exclut personne. Je trouve que Michel Venne vient se placer en dehors de la petite politique et ouvre à quelque chose de vraiment constructif entre nous toutes et tous.
Cher Vous, ne pas prendre partie pour lui ou quelqu’un d’autre, quel sera votre contentement. Dieu ou le Diable vous l’apprendra alors qu’il sera trop tard et que vous ne pourrez plus revenir en arrière.Les élus de notre démocratie ont un appareil énorme afin de minimiser leurs erreurs, pas nous simples mortels.
Je vous aime infiniment plus en Quatre Saisons qu’en vulgarisateur politique.
Bien déçu, chère Vous, que ce texte de Michel Venne, fort respectueux pour tout le monde, et après que toutes et tous aient eu l’occasion de marcher à l’urne le 4 septembre, vous soit resté sur l’estomac. Mais, bon, c’est ainsi. Je ne causerai pas longtemps. Une dernière proposition alors, celle de cette chère Erin Moores, habitant Verdun, qui a fait le choix de s’en venir chez nous et ne repartira pas de sitôt.
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/358874/lettre-d-une-anglophone-a-son-quebec
P.S. Merci pour les Quatre Saisons, le travail, le passé. Mais je suis d’abord d’un temps: aujourd’hui. Et d’un pays vissé au cœur, vivant le sort des miennes et des miens: le Québec.
Oh! Cher Vous, j’ai énormément de respect pour ce que vous êtes comme historien; sauf que j’ai un peu de misère à m’y retrouver parmis tous ces artistes et autres blogosphériens qui s’épanchent sur leur conviction politique à tout vent.