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Articles de la catégorie ‘Littérature, lecture’

Le «chant» de la fin d’octobre

Bouquet unSur ce site, au cours des dernières semaines, nous avons vu des textes d’auteurs heureux de l’automne. Mais on ne pourrait nier que certains sont gagnés par la tristesse lorsqu’arrive ce temps de l’année. Voyez ce chroniqueur anonyme. Lire la suite

«La Feuille»

feuille sur pimbina

Ici, le poète Arnault questionne la feuille errante : «Où vas-tu ?» Lire la suite

Sortons le violon de la penderie

la verge dor et le groseillier

À nouveau de bons mots pour l’automne. Ils sont de quelqu’un qui signe simplement G. D. et paraissent dans Le Monde illustré du 20 octobre 1888. Lire la suite

«H» y va d’une méditation sur la chute des feuilles

Feuille erable

Elles tombent encore les feuilles….. Lire la suite

Il nous faudra un jour une anthologie québécoise sur l’automne

paysage automnal deux

Les textes sur cette saison sont si riches dans la presse d’il y a un peu plus de 100 ans. Nous pourrions revenir à cette anthologie les soirs de feux de bois dans le poêle. Lire la suite

Hommage au soleil d’automne

sur le fleuve au lever du soleil

Charles, ce cher Charles, se sent l’âme pour s’adresser au soleil. Sous le titre «Le soleil d’automne», il propose son texte au journal Le Monde illustré qui le publie le 17 octobre 1885. Lire la suite

Qui aurait pensé cela ?

Portrait de NietzscheIl y a souvent matière à étonnement dans la presse québécoise ancienne. Qui aurait pensé qu’on retrouverait dans la page féminine du quotidien montréalais La Patrie des textes du philosophe allemand Friedrich Nietzsche (1844-1900) ? Lire la suite

Gagnons la cabane, bergère

moutondheleneaudet

Le journal La Patrie, qui aime glisser un poème dans son édition du samedi, y va, le 6 octobre 1900, de ce texte délicieux de Fabre d’Églantine. Lire la suite

Dans la série «Poèmes des temps d’hier»

les quatre soeurs

En voici un. Non titré, non signé, paru dans La Sentinelle de Montmagny le 23 octobre 1891. Lire la suite

Savoir reconnaître la beauté

Oeil ouvert et coeur battant

En 2011, l’écrivain, poète et calligraphe chinois, François Cheng, né en 1929 en Chine et naturalisé français en 1971, publie chez Desclée de Brouwer, Collège des Bernardins (Paris), l’ouvrage Œil ouvert et cœur battant, Comment envisager et dévisager la beauté.

L’homme a l’âge de savoir qu’il faut s’efforcer de vivre le plus souvent possible dans les plates-bandes de la beauté. Réflexions extraites de cet ouvrage. Lire la suite