Petit poème trifluvien, bien de saison, publié à Paris dans une revue pour la jeunesse
En 1885, chroniqueur au quotidien montréalais La Patrie, l’écrivain Louis Fréchette se cache sous le pseudonyme de Cyprien. Lire la suite
13 Mar
En 1885, chroniqueur au quotidien montréalais La Patrie, l’écrivain Louis Fréchette se cache sous le pseudonyme de Cyprien. Lire la suite
11 Mar
Et elle nous fut tellement utile. Parler de la raquette aujourd’hui fait folklo. Quoiqu’il s’en trouve maintenant des modernes, et non de babiche. Elle m’apparaît constamment dans mes journaux d’hier.
Peut-être qu’il faudra un jour imaginer un compilation, un ouvrage, majeur, sur la raquette, nous apprenant ses grands moments, et ses diverses «couleurs». La reconnaissant comme étant nôtre. Lire la suite
10 Mar
Et cette génération a maintenant décidé de prendre la parole. Il faut tant s’en féliciter. En voici une : Natasha Kanapé Fontaine. Le quatrième de couverture précise : Natasha Kanapé Fontaine est née en 1991 à Baie-Comeau. Innue de Pessamit, elle vit à Rimouski. Poète slammeuse, peintre et comédienne. N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures est son premier livre. Lire la suite
J’apprécie particulièrement ce que tu dis sur les haïkus : éditions David, femmes innus et le groupe du Morrin College. Comme tu sais, je suis moi-même adepte du genre. Lire la suite
8 Mar
La Canadienne
Il est au-dessus des nuages
Dans le ciel bleu du firmament,
Un rayon qui, loin des orages,
Brille comme un pur diamant. Lire la suite
6 Mar
J’aime beaucoup la maison Les Éditions David, qui a pignon sur rue à Ottawa, en particulier parce qu’on y retrouve une collection d’ouvrages de haïkus. Déjà, du même éditeur, je vous avais présenté, il y a moins de deux mois, Les haïkus de femmes innues (actuellement 98 visiteurs pour ce billet).
Par ailleurs, à Québec, au Morrin Centre, se tiennent depuis 2006 les réunions d’un groupe dans la plus pure tradition japonaise, un kukaï. Là, on échange ses haïkus, on les commente, on les critique, dans la bonne humeur. Lire la suite
2 Mar
En 2009, Isabelle Dubois, un copine de France, me faisait parvenir une œuvre de l’écrivain Jacques Poulain — pas notre Jacques Poulin, Européen celui-ci. L’homme, disparu à 46 ans, s’attardait à décrire son amour, ses amours peut-être, dans des carnets, par petits traits. En 1998, la maison d’édition Sulliver, au catalogue original, ayant pignon sur rue à Arles, en Provence, publie le produit de ces carnets sous le titre Volontiers je la décrirais. Extraits. Lire la suite
Poème d’Edith Rose, paru dans la revue de poésie Vagabondages, publié par l’Association Paris-Poète, no 42, octobre 1982. Lire la suite
21 Fév
Je vous ai dit à quelques reprises mon plaisir de découvrir dans la presse québécoise de 1880 à 1910, quotidienne et hebdomadaire, des poèmes. Lire la suite
Thème Linen par The Theme Foundry.
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