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Arrêtons-nous à l’écrivain français André Theuriet, de parents originaires de Lorraine

La presse québécoise aimait cette homme à la belle plume, chantant souvent la vie rurale. La Patrie, ici, signale son décès. Extrait.

André Theuriet fut avant tout un idyllique, un poète rustique, un paysan artiste, dont la jeunesse au pays lorrain a reflété les paysages de là-bas, cette campagne de l’Est, sombre, mais si suggestive.

Ses premiers vers datent de son arrivée à Paris en 1857. Il venait de terminer ses études au collège de Bar le Duc, lorsqu’il, publia son charmant recueil : « Le chemin  des bois », qui fut couronné par l’Académie française. Longtemps, il ne voulut être que poète ; ce n’est qu’aux approches de la trentaine qu’il se décida à aborder le roman. André Theuriet fut un modeste, un simple et un sage. […]

Il fit une grande quantité de romans et de poèmes, parmi lesquels il faut citer « Le Bleu et le Noir », couronné par l’Académie française, Mademoiselle Guignon, Le mariage de Gérard, LaFortune d’Argèles; Raymonde, Hélène, Nos oiseaux, Fleurs de Nice, Ville tranquille, etc., etc. […]

 

La Patrie (Montréal), 24 avril 1907.

Vous trouverez ici quelques texte d’André Theuriet.

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