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Archive pour

« La bonne année »

Quand la neige dans les rues

Crie aux bottes des passants

Et qu’au ciel de sombres nues

S’entrechoquent sous les vents ; Lire la suite

La belle lavandière de la rivière de la Madeleine

Nous étions à bord du Napoléon III. Lire la suite

Parfois la presse québécoise d’autrefois s’apparente étrangement à celle d’aujourd’hui

Peut-être à court de sujets, on fait du bruit, et on chauffe à blanc le public lecteur avec ce que nous appelons aujourd’hui de fausses nouvelles. Lire la suite

Le repos qu’apporte la grande Simone Weil

Parfois, on se dit que les grands sages — Simone Weil, par exemple — sont fatigants, même assommants, diraient certains. Mais arrêtons-nous un instant. Lire la suite

De grands froids comme celui que nous vivons aujourd’hui sont sans pitié pour certains de nos oiseaux

Très certainement pour la Tourterelle triste et l’Étourneau sansonnet. Je l’ai vérifié parfois. Ces froids font mourir ces deux espèces venues d’ailleurs qui n’ont pas encore eu le temps de développer une résistance à ces températures. Lire la suite

Autrefois, les chants de Noëls, on les appelait simplement « noëls » (Second de deux billets)

Allons maintenant en Angleterre, en Espagne, en Allemagne, dans les pays scandinaves et aux États-Unis, puis en Italie.

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Les citoyens québécois obligés de vivre l’hiver, le pont de glace tout de même, où que ce soit, est toujours une libération

Ici, le quotidien Le Canadien est heureux d’annoncer qu’on l’aura bientôt entre Montréal et la rive sud. Lire la suite

En est-il alors toujours ainsi ?

La ville aurait porté un dur coup aux rassemblements d’autrefois. Que croire ?

Le discours tenu ici remonte à 1886. Voilà donc 131 ans. Lire la suite

« Les maisons dans la nuit »

De l’écrivaine de Québec, Reine Malouin (1898-1976) Lire la suite

Autrefois, les chants de Noël, on les appelait simplement « noëls » (Premier de deux billets)

Voici un survol de l’histoire des noëls.

Dès la plus haute antiquité chrétienne, on trouve trace de vieux noëls ; ce furent surtout les populations des campagnes qui s’adonnèrent à ces compositions mystiques. Au moyen âge, les églises d’Occident, pendant le chant des noëls, représentaient la Nativité avec des personnages qui n’appartenaient pas au clergé. On retrouve cette coutume dans l’office des pasteurs longtemps célébré.
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