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L’asclépiade et le Monarque

Tout juste en face de chez moi, en bordure de la route, le tondeur de fossés — ô merveille — n’a pas réussi à faucher les plants sauvages d’asclépiade, vitaux pour le sort du grand migrateur mexico-québécois, le Monarque. Ces derniers occupent donc avec succès la fêlure entre le fossé lui-même et le champ cultivé. Les voici.

Par bonheur, le quotidien montréalais Le Devoir fait sa une aujourd’hui avec un article de Jeanne Corriveau « La traque du papillon monarque »

Voyez cet article ainsi que l’encarté « L’essentielle asclépiade ».

Et pourquoi ne pas demander aux municipalités rurales québécoises de prévenir leur tondeur de fossé d’éviter la tonte de l’asclépiade ? C’est un plant qui se distingue facilement de tout le reste. Je vais aller voir la mienne.

2 commentaires Publier un commentaire
  1. Hélène Gonthier #

    Les boutons comestibles ont un goût de
    brocoli…
    La « soie d’Amérique » passe en production industrielle…
    Fibre isolante pour les anoraks!
    Belle journée à vous!

    10 juillet 2017
  2. Jean Provencher #

    Bonne nouvelle.

    10 juillet 2017

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